Le garagiste

Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée
il y a 6 ans

Mon mari Arnaud, ayant une après midi chargée, me demande de passer chez Marc, son pote carrossier, pour régler une facture, suite à un accrochage de nôtre voiture.

En ce moment, nos finances sont au plus bas. Aussi, mon mari me demande-t-il, de lui proposer un paiement en plusieurs mensualités.

Marc est un homme très séduisant, débordant de virilité, à qui l’on prête beaucoup de conquête. Surtout des femmes mariées.

« J’aime bien humilier leurs maris, se vante-t-il. Les entendre gémir de plaisir entre mes bras…ouah…pendant deux heures, elles les oublient, les renient…crient mon nom quand elles atteignent l’orgasme »

Marc a toujours fantasmé sur moi. Il me trouve très belle. Il me dit, avec humour, que je suis bien carrossée.

J’arrive au garage vers quinze heures. Personne. Ca tombe bien, on pourra discuter.

-Bonjour, Marc, comment ça va.

-Ca va, et toi, me répond-il. Toujours aussi ravissante, à ce que je vois…ta voiture est prête.

-Justement, Arnaud demande si tu ne pourrais pas nous arranger pour le paiement.

-Pourquoi, dit-il en s’approchant de moi…ça dépend de toi…une petite gâterie pourrait régler une traite.

-Quoi…mais ça va pas, goujat. J’aimerai voir la tête d’Arnaud quand je vais lui dire ça.

-Je démentirais, poursuit Marc, c’est ta parole contre la mienne. Par contre, si tu me suces, il n’en saura rien. A toi de voir.

-Salaud, faire ça à ton meilleur pote, tu n’as pas honte.

-Mais il n’en saura rien je te dis.

Les idées défilent dans ma tête. Je pense à nôtre situation financière, peu reluisante. Je n’ai jamais sucé la queue de mon mari. Puis, sucer une bite n’à jamais tuer personne. On m’a toujours dit, sucer n’est pas tromper. Tant pis, je me lance.

Je m’approche lentement de lui, déboutonne la braguette de son pantalon, et le baisse. Mon dieu, quel calibre. Il recule, s’appuie sur le capot d’une voiture. Je lui prends le sexe que je branle doucement, et qui prend des proportions dantesques.

Je me mets à genoux, décalotte l’énorme queue, que je prends en bouche. Il me prend la tête, et commence à se branler. Au bout de cinq minutes, je sens la queue se tendre. Sur, il va jouir. Il me maintient la tête, pour que je ne puisse pas me retirer. Soudain, sa semence épaisse gicle par saccades au fond de ma gorge. Je suis bloquée, à tel point que je commence à m’étouffer. Je suis obligée de tout avaler, pour reprendre ma respiration.

Pour asseoir sa domination, il m’oblige à lui nettoyer le gland. Inconsciemment, comme une conne, j’enroule ma langue autour, et le nettoie. Je me relève, rouge de honte.

-Ouah…oh putain, tu es une pro pour tailler les pipes, vraiment. Tu veux un justificatif pour le premier règlement, ironise-t-il…suis-je bête, tu auras le gout de mon sperme.

-Enfoiré…la prochaine fois, c’est Arnaud qui viendra.

-Ca m’étonnerait, sourit-il. Tu vois ça la haut, c’est une caméra de surveillance. Tu ne voudrais pas que je lui montre comment tu as payé. Allez, je t’attends le mois prochain pour la deuxième échéance. A oui, je veux que tu viennes en mini jupe, sans rien dessous.

-Tu peux toujours courir salaud, dis-je en quittant le garage.

En arrivant chez moi, je cours à la salle de bains me laver les dents, suite à l’odieux gargarisme que m’a imposé Marc. Mon mari rentre du bureau vers dix huit heures.

-Alors ma chérie, dit-il, j’ai vu que tu avais récupéré la voiture. Tu as pu négocier ?

-Oui, je lui ai donné cent euros, dis-je en bégayant. Je dois y repasser le mois prochain.

-Très bien, poursuit mon mari, je savais qu’il accepterait. Ca c’est un pote.

Le pauvre, s’il savait que j’ai été obligé de lui tailler une pipe à son meilleur pote. Il ne serait pas content, d’autant que lui, n’a jamais eu droit à une telle faveur.

Déjà, dans ma tête, je pense au règlement de la prochaine échéance. Comment négocier, car je sens Marc déterminer à mener à bout ses intentions perverses.

Le jour fatidique arrive. Je mets une mini jupe et un tee shirt dans un sac, pour me changer en route. Je ne veux pas que les voisins me voient dans une tenue trop sexy, limite pute. J’arrive au garage, il est quinze heures. Marc est à son bureau.

-Hello, crie-t-il, je suis là, viens par ici me faire voir un peu. Viens t’asseoir sur mes genoux.

Tel un automate, j’obéis. De suite, il remonte ma mini jupe sur mon ventre, découvrant ma petite chatte toute épilée. Malgré mes jambes serrées, il parvient à glisser un doigt entre mes cuisses. Je serre les dents, pour ne pas crier. Il insiste, à tel point qu’un doigt force le passage. Il caresse ma fente de bas en haut, jusqu’à mon clitoris. Je me défends le mieux que je peux, tandis que lui reste impassible, attendant que je craque.

A force d’insister, il arrive à faire monter le désir en moi. Vaincue, j’écarte les jambes.

-Salaud, souffle-je…t’es qu’un salaud…vas-y, caresse moi…

-Ben tu vois, ce n’est pas la mort. Je vais jouer avec toi, tu veux ?

-Fais ce que tu veux, mais je t’en prie, qu’Arnaud ne sache rien.

-Si tu es docile, il n’y à pas de souci, poursuit-il.

Deux doigts pénètrent ma chatte, un autre doigte mon clitoris, entièrement décalotté. Marc est un expert, connait les femmes. Quand il arrête, c’est moi qui me branle sur ses doigts, en donnant de violents coups de reins. Soudain, c’est l’orgasme, puissant. J’hurle de plaisir.

-T’as l’air d’aimer ça, hein…petite salope.

-Enfoiré…oui j’aime ça….baises moi, j’ai trop envie que tu me mettes un coup de queue.

-Oh la, dit-il, tu as l’air chaude. Ou tu es mal baisée, ou tu es en manque ?

-Les deux, avoue ai-je.

-Tu ne vas le regretter, dit-il en ôtant mes habits. On va jouer tous les deux.

Entièrement nue, il me force à me coucher sur ses genoux. D’abord, il tapote mes fesses, puis glisse son majeur entre mes cuisses écartées. Je couine de plaisir quand il gratte l’intérieur de ma chatte, quand il doigte mon clitoris, mais n’apprécie guère, quand il pénètre mon petit trou. C’est un endroit de mon corps que j’ai toujours refusé à mon mari, et espère bien le conserver vierge. Mais je dois avouer que je trouve la caresse très excitante.

Calmement, il me soulève par les hanches, et m’empale sur sa queue. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir. C’est lui qui guide la manœuvre. Il me fait monter et descendre sur son énorme pieu. Sans m’avertir, il change de direction, son gland force mon petit trou, puis c’est la queue tout entière qui me pénètre. Ce salaud m’a eu. Il m’encule, et moi, petite garce, je me régale. Je jouis trois fois, en moins d’un quart d’heure. Il se moque de moi quand j’en redemande.

-Décidément, c’est vrai que ton mari doit être un piètre amant.

-Tais-toi, ne parles pas de lui…vas-y, baises moi encore…s’il te plait, j’ai envie.

Marc est un super étalon, increvable. Surtout, il m’a fait découvrir ce qu’est l’amour. Moi habituée aux petits câlins bâclés de mon mari, qui, une fois qu’il a tiré son coup, se retourne et s’endort. Là, au moins, je ne suis pas déçu par le travail accompli. J’en prend pour mon argent.

Avant de le quitter, j’atteins encore l’orgasme sous la douche de l’atelier.

Mon mari rentre de son séminaire vers dix sept heures. Je le trouve en forme, très souriant. Il arrive derrière moi, me prend par la taille. Ses mains remontent sous mon pull, caressent mes seins. Une main glisse entre mes cuisses. Je l’arrête net. Je n’ai pas mis de culotte, pensant qu’il rentrait plus tard, et surtout, parce que ma chatte est encore toute mouillée.

Je coupe court à toutes ses vilaines intentions.

-Alors mon chéri, ça s’est bien passé.

-Super, répond mon mari.

-Je ne t’attendais pas si tôt.

-Je sais ma chérie, et encore, je suis passé chez Marc, pour sa caméra de surveillance.

-A bon, qu’est-ce qu’elle a ?

-J’en sais trop rien, ça fait plus de six mois qu’elle ne marche pas. En plus, son comptable a fait une erreur sur la facture, du coup, il m’a remboursé deux cent euros. Finalement, il est honnête.

L’enfoiré, comme il me l’a mis. Quelle conne je suis. La caméra qui a soit disant enregistré quand je lui ai taillé une pipe, c’était faux. Les dernières échéances, on ne les devait pas. Tout ça pour me baiser, moi la femme de son meilleur copain. Quel odieux chantage. J’ai tout avalé, même son sperme. Je me suis fait piéger.

Mais je ne le regrette pas. Il m’a donné tant de plaisir, tellement fait jouir. Et tout ce qu’il m’a fait découvrir. Tailler des pipes, la sodomie. Rien que pour ça, je lui pardonne tout. Maintenant que nôtre dette est réglée, il me faut trouver un moyen pour revoir mon baiseur de garagiste.

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